- DATE D'INSCRIPTION : 24/08/2017 - JE SUIS NÉ(E) LE : 18/06/1985 - MON ÂGE EXACT : 39 - MON NOMBRE DE MESSAGES : 418 - POINTS GAGNÉS : 567 - MES ACTIVITÉS : Je dois avouer que je pratique beaucoup de sports, cela m'aide à canalyser non seulement mon énergie, mais surtout ma colère.
Conrad Daniel Adams “L'HISTOIRE COMMENCE ✩ ERIN COHEN. l'admin sexy | Sujet: CONRAD - Les personnes qui me connaissent vous diront que je n'ai pas de coeur, du tout. Jeu 2 Nov - 1:50 | |
| Les personnes qui me connaissent vous diront que je n'ai pas de coeur, du tout. CONRAD ADAMS | DATE DE NAISSANCE ✩ 18/06/1985 - ÂGE EXACT ✩ 32 ans tout simplement - TA CÉLÉBRITÉ ✩ le plus beau et le plus sexy des hommes : monsieur Jamie HOT Dornan - CRÉDIT(S) ✩ tumblr - SURNOM(S) ✩ Coco, seulement mes proches, sinon c'est monsieur Adams lorsqu'on s'adresse à moi - QUESTION COEUR ✩ je ne pensais pas ressentir cela un jour, mais je suis tombé sous le charme de miss Erin Cohen - ORIENTATION SEXUELLE ✩ j'aime les femmes, les brunes, mais surtout j'aime miss Erin Cohen - CDI ou ÉTUDES ✩ j'ai étudié le droit et à présent je suis avocat - ACTIVITÉS ✩ je dois bien admettre que je cumule les activités physiques et autres ... j'aime surtout faire du sport, du jogging tous les matins avant d'aller travailler par exemple, ou encore m'adonner à faire du sport dans ma salle située dans mon duplex de luxe, je pratique le golf, la natation, la boxe, le tennis ou encore le foot, j'aime aussi lire les journaux, mais surtout j'aime piloter mon hélicoptère et j'aime passer du temps sur mon bateau - AUTRE(S) COMPTE(S) ✩ j'ai deux autres comptes, des femmes très belles : miss Anne-Catherine Cohen avec DAKOTA JOHNSON & miss Emma-Louise DesChamps avec AMBER HEARD - CHOSE(S) À SAVOIR ✩ j'ai énormément de marques sur mon corps, elles sont situées sur mon dos, ce sont les coups de ceinture de mon géniteur - FUTUR GROUPE ✩ LES PETITS MOUCHOIRS - TROIS QUALITÉS ✩ je suis déterminé, j'essaye de toujours obtenir ce que je veux - je suis très fidèle en amour et en amitié, je ne trompe jamais les femmes avec qui je "suis", j'aime offrir des cadeaux aux personnes que j'aime - je me donne corps et âme dans tout ce que j'entreprends TROIS DÉFAUTS ✩ je semble dur et froid en apparence, on dit aussi que je me sens supérieur, mais cela n'est qu'une façade - je suis mystérieux, peut-être un peu trop, j'admets que je ne fais jamais part de mes sentiments - je suis vraiment très sarcastique |
rédaction de ton histoire « NON ! NON ! S'il te plait arrête. » Des larmes perlent dans mes prunelles encore closent. Je me réveille en sueur, des sueurs froides. Je rêve encore de lui. Je perçois son visage, chacun de ses traits. Il me hait. Jamais je n'aurais de grâce à ses yeux. Je tente de retrouver mon souffle alors que je suis seul dans mon immense lit. Je déteste dormir avec une femme, avec qui que ce soit d'ailleurs. La solitude est mon alliée et cela depuis ma plus tendre enfance. D'ailleurs, peut-on dire « tendre » enfance avec celle que j'ai dû subir ? Je dirais plutôt « difficile » enfance. Je n'en parle à personne. À quoi bon. Seul mon psychiatre connait la vérité sur ce qu'il s'est passé durant mon enfance volée. Personne d'autre ne sera au courant : jamais. Je fais énormément de sport. Cela m'aide à canaliser mon énergie, ainsi que ma haine grandissante. Personne n'a de grâce à mes yeux. Cela vient sans doute de mon défunt père. Il est décédé il y a quelques mois. Un cancer l'a tué. Saleté de maladie. N'empêche, je pense qu'il l'a mérité. Il n'y avait personne à son enterrement. Ce n'était pas une personne aimée. Il n'avait pas tant d'amis que cela et pourtant je l'ai honoré. Je lui ai offert ce qu'il y a de plus beaux pour sa mort. Malgré tout, il était mon père et comme me l'a dit mon psychiatre, je le cite « nous n'en avons qu'un ». Toutes les nuits, je sens les coups déferlés dans mon dos. Je ressens la souffrance, mon cœur qui se sert. Je le supplie d'arrêter, mais cela ne sert à rien. Il est ivre, il me frappe et ne me manque jamais. Je sers les dents, parce que si je lui implore d'arrêter les coups continuent plus longtemps. Souvent c'est lorsqu'il se fatigue qu'il arrête. Cela peut durer plusieurs minutes, d'affreuses et longues minutes qui me semblaient à l'époque durée des heures. « Asseyez-vous monsieur Adams. » Je le vois toutes les semaines. J'ai de quoi payé toutes ses séances. Parfois même j'abuse en l'appelant durant la nuit après un affreux cauchemar. Après tout j'ai le moyen de le payer puis, je le paye cher. Je déteste m'asseoir, mais il me le demande toujours, à chaque fois. Je reste debout, comme d'habitude et je regarde par la baie vitrée. « Si nous en reprenions à ce que nous avons dit la dernière fois. » Je pousse un soupire. « Que je n'aime personne ? Je pense que les raisons sont évidentes. » Je suis cassant. Mes poings se serrent dans mes poches, j'ai la nette impression de perdre mon temps. « Écoutez monsieur Adams, je pourrais vous prescrire des médicaments, ne serait-ce que pour dormir. » Je refuse la médication. Je ne désire pas être amorphe, à être l'ombre de moi-même. « Je refuse catégoriquement, vous le savez il me semble. » Ma voix est toujours tranchante. Aujourd'hui je me demande ce que je fais ici. « Vous pourriez voir un hypnotiseur, pour vos cauchemars. » Il m'agace, m'énerve. Je voudrais lui foutre mon poing dans le visage, mais je me contiens. Il va falloir que j'aille courir, faire de la boxe, exercer un sport pour ne pas frapper le premier venu qui me regarderait de travers. « Cela ne servirait strictement à rien. Écoutez, je ne vous paye pas pour cela. » Je me tourne et le fusille du regard. « Je vous en prie monsieur Adams, asseyez-vous. » Je pousse alors un juron quasi inaudible, mais je rends les armes et je m'assois sur un de ses deux fauteuils. « Que voulez-vous que je vous dise ? » Mon regard perçant le scrute, mes traits sont tirés. « Reprenons depuis le commencement. Votre enfance, ce qui vous est arrivé. » Il reste calme, poser. Je bouillonne intérieurement, mais je souffre surtout. Mon cœur se sert et les larmes surgissent sans que je ne m'en aperçoive. « Ma mère est décédée durant l'accouchement. Elle a perdu énormément de sang. Je n'en sais pas plus. Mon géniteur ne m'en a jamais dévoilé plus. » Je soupire et poursuis. « Mon père m'a éduqué seul. Je n'avais pas d'autre famille que lui. Quelquefois mes grands-parents passaient, mais cela terminait toujours mal, alors ils ont cessé de venir. Ils savaient que mon géniteur me frappait, mais ils n'ont rien fait. » Je fais une pause, ravale difficilement ma salive et poursuit. « Il a été mon bourreau durant de longues années. Je ne vous apprends rien. » Il se met alors à écrire sur son ordinateur. Je me demande à quoi cela sert-il puisque nous en avions déjà parlé. « Comment vous sentez-vous depuis son décès ? Lui avez-vous pardonné ? » Un rire sarcastique s'échappe d'entre mes lèvres. « Jamais. » Je ferme un instant mes yeux avant de poursuivre. « Jamais je ne lui pardonnerais. » « Pourtant, vous vous êtes occupé de lui durant sa maladie et à son enterrement. Cela montre une part d'humanité en vous. » Il me pique à vif. Je lui réponds alors : « Vous commencez bien à me connaître non ? Vous savez que je n'ai aucune part d'humanité. J'ai fait ce que tout le monde aurait fait. » Je me lève alors et lui tend ma main. Cette séance est un supplice. « Je pense que nous en avons terminé pour aujourd'hui. » Je sors alors de son bureau, ferme la porte et je m'engouffre dans l'ascenseur. Une fois dehors, mon chauffeur m'ouvre la porte et me ramène à la maison. Comme chaque fois que je suis sur les nerfs. Je fais alors voler l'énorme vase de l'entrée. J'expulse ma rage. Je me rends alors dans mon dressing, je mets une tenue de sport et je m'en vais alors qu'il pleut, écouteurs dans les oreilles. Je cours, je fuis ce que je suis, celui que je devrais être, celui que je ne deviendrais sans doute jamais. Au jour d'aujourd'hui je suis avocat dans la meilleure boite de la ville de Nice. Je travaille beaucoup, sans arrêt parce que je désire devenir associé. Le soucis ? Oui, il y en a bien un : je suis tombé sous le charme d'une très belle brune qui se prénomme Erin Cohen. Dès que j'ai regardé son visage en forme de coeur et de poupée je suis tombé tout bonnement amoureux d'elle. Le second soucis ? Je ne sais absolument rien d'elle. Nous nous sommes croisés dans un parc où nous faisions du jogging et elle s'est fait mal à la cheville. Je l'ai alors porté jusqu'à la voiture. Mon chauffeur comptait nous déposer à l'hôpital, mais quelque chose d'autre c'est produit. Nous étions si proches que nous avons succombé au plaisir de la chair. Nous avons fait "l'amour". Nous nous sommes ensuite revus chez une amie. Je me demandais pourquoi elle ne m'avait jamais contacté. Nous sommes attirés l'un par l'autre comme des aimants, le seul problème est que je ne suis absolument pas facile à vivre et que je ne connais pas les "relations" entre les hommes et les femmes. Je ne suis ni chocolat ni fleurs, je pense que je vais devoir y remédier pour cette femme qui me fait tourner la tête et qui fait chavirer mon coeur. | DIX ANECDOTES 1 - Je suis un homme compliqué. Il est très difficile de me cerner. Peu de personnes me connaissent véritablement. Je suis très mystérieux, sarcastique, droit, impliqué dans mon travail. J'ai une poigne de fer. 2 - J'obtiens toujours ce que je désire. Je suis une personne obstinée. 3 - Je passe mon temps à travailler ou bien à faire du sport. 4 - Je parle peu, mais bien. Je mets toujours les cartes sur table. Je ne me gêne jamais pour dire ce que je pense. 5 - Je n'aime personne. J'ai vécu des difficultés enfant et depuis je ne m'en suis pas remis. Je broie souvent du noir. 6 - J'aime les femmes, attention cela ne veut pas dire que je les collectionne. Je suis très fidèle en amour comme en amitié, enfin pour ceux qui ont la « chance » d'être amis avec moi-même. Au fond de moi, je suis brisé. 7 - J'ai toujours été particulièrement renfermé, solitaire. Adolescent j'en voulais à la terre entière, mais je me suis rapidement rendu compte que si je voulais partir de chez moi, il faudrait que je poursuive des études pour devenir quelqu'un. Je me suis juré que j'y arriverais. 8 - Je fais énormément de sport et cela depuis toujours. Je canalise ainsi mon énergie et je me défoule pour ne pas être violent envers mes camarades. 9 - Je songe souvent à la vie que j'aurais pu avoir si ma mère n'était pas morte à mon accouchement. Je cauchemarde toutes les nuits. Je garde une photo de ma mère dans ma chambre. Chaque fois que je la vois des larmes roulent sur mes joues. Je pleure et souffre en silence. 1O - J'éprouve une immense haine envers mon géniteur qui m'a longtemps frappé et violer. J'ai eu le droit de ma dose de coups de ceinturon tous les jours après que mon père ait bus de l'alcool. - BONUS - Je désire devenir avocat pour mettre en prison toutes les personnes qui violentent leurs enfants, leurs conjoints etc. J'y parviendrai et deviendrai un avocat implacable. |
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