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 ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie.

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Conrad Daniel Adams
- DATE D'INSCRIPTION : 24/08/2017
- JE SUIS NÉ(E) LE : 18/06/1985
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Conrad Daniel Adams
“L'HISTOIRE COMMENCE ✩ ERIN COHEN.
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MessageSujet: ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie.   ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie. Icon_minitimeJeu 16 Nov - 23:42


✩ Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie.
Je n'ai pas connu ma défunte mère. En réalité, je ne possède qu'une photo d'elle. J'aurais aimé l'avoir près de moi, mais la vie en a décidé autrement malheureusement. Je me demande toujours si mon enfance aurait été différente si elle avait survécu. Je n'ai jamais eu le courage de le demander à mon géniteur, enfin je veux dire mon père. Nous ne nous sommes jamais entendus, mais lorsqu'il est tombé gravement malade j'ai décidé qu'il fallait que je lui pardonne. Il m'a violenté, mais aussi frapper, puis il a abusé de moi de nombreuses fois, mais je lui ai accordé mon pardon. Je ne l'ai confié à personne, même pas à mon psychiatre qui lui pense que je devrais le faire. Il ne me connaît pas si bien dans le fond, mais peut importe, ce qui compte c'est qu'à présent je suis en paix avec mon père, du moins je crois. Je ne suis pas certain, je sais que je me souviendrais toujours de tout, c'est inévitable. Toutes les nuits je fais le même cauchemar, il me frappe, il est ivre, il me viole, je n'ai même pas dix ans. C'est une histoire terrible, une partie de l'histoire de mon existence. Je ne suis sans doute pas né sous une bonne étoile comme on dit, mais une chose est certaine : j'ai toujours désiré vivre. Je ne sais absolument pas d'où vient cette force. Parfois j'aime penser que cela vient de ma mère. J'aimerais, je crois. J'aurais espéré ne pas ressembler à mon père, mais je sais que c'est le cas, malheureusement. On a toujours une part de nos parents en nous, du moins je pense. J'admets que j'ai peur, peur de trop lui ressembler. C'est déjà le cas. Lorsque j'ai grandi, j'ai commencé à me défendre, pour finalement rendre les coups. Je sais que c'est mal, que je suis un monstre, mais je l'ai fait quand même.

Je partais. Enfin je prenais le large, loin de cette vie minable que j'avais eu depuis ma naissance. Mon géniteur m'haïssait, il prétextait que ma défunte mère était décédée par ma faute. Je n'y pouvais rien si elle avait perdu énormément de sang et que son coeur avait cessé de battre, même pour nous. Pourtant, mon … l'homme qui avait contribué à ma naissance me détestait. Il a commencé à boire, à me frapper, puis à me violer, mais je ne pouvais pas rendre les coups, du moins lorsque j'étais petit. Ce jour-là je m'en allais enfin. Je préparais mes vêtements et mes autres affaires pour aller étudier à Paris. Je serai à la capitale, je pourrais commencer une nouvelle vie, j'en étais persuadé à l'époque. Je connaîtrais peut-être le bonheur : je l'espérais. J'avais aussi en idée de partir sans qu'il ne soit là, non pas parce que nos adieux seraient compliqués, non, je n'avais rien à lui dire. Malheureusement il rentrait lorsque je passais ma porte. « Putain tu crois que tu pars où petit merdeux ? » Je ne répondais pas, je ne voulais pas répondre. Je ne désirais qu'une chose : partir, ne plus jamais le revoir. Il a alors retiré sa ceinture. Je le connaissais, il était bourré, mais il ne désirait qu'une chose : me faire du mal. Sauf que je n'avais plus huit ans, j'étais devenu un homme, je faisais du sport et je pouvais lui mettre une raclée. Je pouvais lire sa haine envers moi dans ses yeux. J'étais son fils, mais il ne m'avait jamais aimé comme un véritable père l'aurait fait. Il m'avait coupé de ma famille, des miens, du côté de ma mère, mais aussi de son côté à lui. Mes grands-parents savaient qu'il me battait, peut-être qu'ils savaient aussi pour les nombreux viols, mais ils n'ont jamais agi, ou réagit. Je n'avais personne à l'époque. « Je te préviens tu ne passeras pas la porte vivant. » Il commençait à rire, tout en titubant. Jusqu'à aujourd'hui, je ne l'avais jamais frappé. Je le stoppais certes, j'en avais la force, mais je savais qu'aujourd'hui rien ne se déroulerait comme d'habitude. Il s'était alors rapproché de moi et la haine a commencé à se déverser en moi. Je ne me souviens pas très bien de tout ce qui a pu se produire. J'avais la sensation que je n'étais plus dans mon corps. J'étais spectateur de cette bagarre à sens unique. Je lui donnais des coups de poings, de pieds, il n'arrivait quasiment plus à respirer et les coups déferlaient jusqu'au moment où il a cessé de respirer.

Je n'arrête pas d'y penser. Je suis devenu la personne que je ne voulais absolument pas devenir. Je ressemblais à mon père ce jour-là. Jamais je ne voudrais revivre cela. Pourtant, j'ai l'impression que ce côté obscure vit toujours dans mon être. Tout ne peut pas être blanc ou noir, il existe des nuances de gris. Alors que j'y songe je me rends compte qu'il est déjà tard dans la matinée. Depuis mon retour a Nice, j'ai renoué des liens avec ma famille, du moins avec celle de ma mère que je n'ai jamais connue. Je ne suis pas du genre « proche », « câlin », ce genre de choses, je n'ai pas été élevé ainsi. Pourtant, je fais des efforts, j'essaye en tout cas. Je décide enfin de me lever, de me vêtir, nous sommes le weekend alors un pull gris et un jean suffiront. Des baskets aussi et mon célèbre manteau noir. J'ai décidé de m'y rendre en voiture, seul, mon chauffeur profite de son weekend, il a bien raison. Je n'habite pas à côté de ma tante, je mets un bon quart d'heure pour m'y rendre, rien de bien méchant. Je n'ai pas mangé, je n'ai pas non plus pris le temps de me raser. Je broie du noir et je sais qu'elle va pouvoir me remonter le moral. Au début j'étais assez méfiant, mais aujourd'hui j'accepte cette famille que je n'ai pas eue durant mon enfance à cause de mon père. Ma vie aurait pu être totalement différente, mais je ne sais pas si elle aurait été meilleure, je ne le saurais jamais. En attendant je me gare pour rejoindre sa demeure. Je sonne à la porte, je suis légèrement anxieux, j'ai la tête d'une personne qui va mal. La solitude et la dépression m'ont toujours accompagné dans mon existence malheureusement. Une fois qu'elle m'ouvre la porte je suis ravi de la voir, un mince sourire nait alors sur mon visage. Je dépose un simple baisé sur ça joue quand elle me laisse entrer. « Je suis content de te voir Maddie. » Je souris davantage, j'aime être en sa présence, j'ai l'impression de faire véritablement parti d'une famille, une vraie et qui plus est : la mienne.
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Maddison-Olivia Kruger
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MessageSujet: Re: ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie.   ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie. Icon_minitimeVen 17 Nov - 4:08


✩ Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie.
Depuis mon arrivé dans le monde des vivants avoir ma grande soeur au près de moi était quelque chose de vraiment génial. J'avais toujours été très proche de soeur en fait j'étais toujours très proches de tous les membres de ma  famille. J'étais au courant pour l’existence de mon neveux , mais mon beau frère avait toujours tout fait pour que je ne puisse le voir ou même savoir s'il allait bien. Lorsque j'ai apprise la mort de ma sœur j'avais pété les plombs comme a mon habitude quand j’apprenais des nouvelles du gère je n'arrivais pas toujours a bien gérer mes émotions. C'était plus fort que moi. J'avais complètement explosé je m'étais mit a pleurer a chaude larme et cela en pleine réunion. Je m'étais lever d'un bon et j'avais quitté rapidement la pièce.

Ce fut le pire jour de ma vie pour moi. Je fit tout pour que mon neveux puisse avoir des contactes avec nous qu'il puisse connaitre sa famille , sa mère , mais rien a faire mon beau-frère comprenait rien. Il ne donnait pas les cartes que je lui donnais me les renvoyais plutôt , même mes parents n'avais pas de nouvelle de leur petit fils et cela pendant plusieurs années jusqu'à ce que mon neveux décide de me contacter après tant d'années je fut surprise d'avoir de ces nouvelles. J'avais tout de suite accepté de le voir. Je l'avais invité a venir a la maison. Et la première fois que je l'ai vue j'avais tout de suite reconnue ma soeur . Mon neveux avec exactement les mêmes yeux que ma soeur. C'était vraiment troublant. J'avais tellement l'impression de la revoir de nouveau. Elle me manquait tellement.

J'avais souvent besoin de retrouver sur sa tombe pour lui parler , comme nous faisions quand nous étions adolescente. J'adorais la retrouver dans sa chambre pour discuté. Nous pouvions discuté pendant des heures posé dans son lit. Ce genre de moment me manquait je le faisait de nouveau avec ma conjointe , car oui j'ai toujours sut que c'était vers les femme que j'étais attiré d'ailleurs c'était a ma grande soeur que j'avais avouer mon homosexualité en premier. Et elle m'avait toujours soutenue. Je me demandais bien si elle veillait encore sur nous et ce qu'elle pensait de ce qu'était devenue son fils. Je ne connaissait rien de toute l'histoire que son père lui avait fait subir durant toute sa vie c'était vraiment bien , car je ne sais pas comment j'aurais réagit si je le savais.

Je savais que mon neveux n'était pas comme mes filles qui était toujours fourrer dans ma jupe et cela depuis longtemps. Elles étaient vraiment toujours coller a moi. Et encore aujourd'hui elle adorait quand ont s'installe toute les quatre dans le salon sur le divan sous un pled a regarder des films. Ce qui ne nous arrivais pas souvent ses dernier temps , parce que je finissait toujours par m'endormir en plein milieu du film. Vivre être enceinte. Je n'en voulais pas a mon neveux d'agir de la sorte d'être aussi distant avec nous , puisque nous ne connaissiez pas beaucoup d'ailleurs.

Depuis un mois depuis que j'avais découverte que j'étais enceinte j'avais besoin de plus d'heure de sommeil. C'était tout a fait normalement , mais cela me rendais un peut la tache difficile comme j'avais beaucoup de travail c'est temps si a faire, mais ce matin j'avais un vrai coup de barre. C'est vraiment  ce qui fit que en se samedi matin , j'ai décider de prendre du temps pour moi donc je suis rester coucher.

Mary c'était occuper des filles ce matin et cela m'avais permit de dormir. Je ne voulais pas sortir de la maison aujourd'hui donc je ne m'étais pas du tout habiller comme je le faisait pour aller au bureau je m'était plutôt habiller pour être a l'aise. Comme je commençait doucement a prendre du poids je mettais des vêtements dans lesquels je pouvais bouger sans problème pour être a mon aise. C'était en fait la gouvernante qui m'avais réveiller sans le vouloir en faisant le ménage dans la chambre de mon aînée qui était coller a ma chambre.

Lorsqu'on sonna a la porte , j'allais ouvrir normalement c'était la gouvernante qui le faisait , mais j'étais a côté de la porte quand la sonnette retenti. J'étais heureuse de voir mon neveux , car j'allais justement l'appeler pour lui demander de passé. Je lui fit la bise puis l'invita a rentré dans le manoir. Nous nous sommes rendu dans le salon, puis lorsqu'il me dit : « Je suis content de te voir Maddie. » , je lui sourit donc et lui dit alors a mon tour.  « Je suis heureuse de te voir aussi. J'allais justement t'appeler pour te demander de passé a la maison.» Cela faisait un bout de temps que nous avions d'ailleurs pas eux de ses nouvelles. C'était super de pouvoir le voir.  
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Conrad Daniel Adams
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MessageSujet: Re: ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie.   ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie. Icon_minitimeDim 19 Nov - 22:38


✩ Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie.
Je n'ai jamais connu ma défunte mère. Je ne la connaitrai bien sûr jamais, enfin si du moins si ma tante Maddie me parle de qui elle était. Je crois que je ne suis pas prêt à savoir à quel point elle était merveilleuse, intelligente, belle etc. Je n'ai pas envie de m'imaginer avec elle enfant, cela me briserait le coeur. Oui, j'ai repris contact avec ma tante, mais je ne suis pas prêt à faire ce genre de choses. Je ne suis pas prêt à être assimilé à toute une famille que je connais depuis si peu de temps. Je ne sais pas ce qui m'a poussé à agir ainsi. Bien sûr, j'ai demandé à un détective privé de retrouver un parent de ma mère décédée, seulement pour savoir si elle avait une personne ou plusieurs qui pouvaient la pleurer tout comme moi. Lorsque j'ai appris qu'elle avait toute une famille, j'ai décidé de boire. Cela n'est pas à mon habitude, je déteste tout ce qui est drogue ou alcool à profusion. Toutefois, ce soir-là je me suis rendu dans un bar et j'ai passé la nuit à enchainer les verres de whisky. Je souffrais encore plus que de coutume, je souffre toujours, je suis né en souffrant et je mourrais dans ce même état. Ensuite, c'est le trou noir. Je me suis réveillé dans mon lit, couvert, en pyjama. J'avais dû appeler mon chauffeur, puisqu'il m'a dit qu'il m'avait ramené. C'était la deuxième fois que je buvais autant. Je n'aime pas m'en rappeler. Je n'ai jamais été du genre alcoolique, je ne voulais pas lui ressembler, je me haïssais déjà, je n'avais pas besoin de l'être davantage. J'ai alors commencé à vouloir en savoir davantage sur la famille de ma mère. Le détective qui travaillait pour moi à alors commencer à prendre des photos de ces personnes, puis je me suis dit que je n'avais pas le droit de m'immiscer ainsi dans leurs vies. J'ai tout arrêté du jour au lendemain, cela m'a rendu malade. Mon psychiatre savait que je lui cachais quelque chose, mais je refusais d'en parler. Des semaines sont passées. Un soir je me suis endormi dans mon immense lit bien vide et je l'ai vu. Ma tante Maddie. Elle me souriait. C'était la première fois depuis ma naissance que je rêvais. Ce n'était pas un cauchemar, c'était un rêve, le rêve de ma vie : avoir une famille. Alors, j'ai pris mon courage à deux mains et je l'ai contacté. Au début, nous nous sommes parlé au téléphone, je n'étais pas prêt à me rendre chez elle. Nous avons durant un certain laps de temps communiquer par textos, puis, je l'ai appelé. Lorsque j'ai entendu le son de sa voix, j'ai eu l'impression que je la connaissais depuis toujours. Cette sensation était étrange, mais cela me réchauffait le coeur. Bien sûr, comme à mon habitude j'ai coupé les ponts. Le bonheur, je ne le connais pas. Il me fait peur, parce que j'ai toujours connu la souffrance et uniquement la souffrance. Puis, je me suis rendu compte qu'elle me manquait. Que j'avais envie de lui raconter mes journées de boulot. Je voulais entendre une nouvelle fois sa voix. Nous nous sommes alors rencontrés pour la toute première fois. Mon coeur battait si fort que j'ai cru qu'il allait tout bonnement cessé de battre. J'aurais voulu l'étreindre dans mes bras, mais j'étais paralysé. Après ce que mon père m'avait fait subir, je ne tolérais aucun contact physique. Quand elle s'est approchée pour me prendre dans ses bras elle a croisé la douleur dans mon regard. Elle a compris que je n'avais pas eu une vie facile, que je ne voulais pas que l'on m'approche. Je lui ai alors dit que les contacts physiques, ça n'était pas mon truc, sans aller dans les détails. Elle comprenait que j'avais besoin de temps pour tout ceci. J'étais comme un animal sauvage qu'il fallait apprivoiser. Aujourd'hui, je tolère la bise et une main sur la mienne ou sur mon épaule, mais pas plus. Seule une personne peut me toucher, cela me perturbe beaucoup je dois bien en convenir. Cette personne se prénomme Erin Cohen. Elle est tout bonnement magnifique. Seulement, elle aussi souffre beaucoup et je pense qu'elle s'est rapprochée de moi à cause de la douleur qu'elle a perçue dans mes yeux. Lorsqu'elle fera ma connaissance elle finira par partir elle aussi … Je n'ai jamais parlé d'Erin à Maddie, seulement à mon psychiatre. Je le paye énormément, en contre partie je ne prends pas de médicaments, enfin si depuis peu, pour dormir. J'ai besoin de dormir pour être concentré sur mon travail, parce que je veux devenir associé dans la boite d'avocats où je bosse. Au début un mince sourire nait sur mon visage lorsqu'elle m'annonce qu'elle voulait justement m'appeler pour passer la voir. La peur m'envahit soudainement, j'espère que cela n'est rien de grave. Je ne suis pas prêt à perdre ma nouvelle famille, alors que je viens seulement d'en faire partie. « Rien de grave ? » Je lui demande alors, m'approchant d'elle et prenant tendrement sa main. « Maddie, je sais qu'on se connaît depuis peu de temps, que je ne connais pas encore très bien le restant de ta famille, enfin de notre famille, mais saches que je suis présent. Pour tout. Je peux t'aider. » Je peux paraître trop sûr de moi, prétentieux, mais les personnes qui pensent ainsi ne me connaissent pas du tout. Je suis bien loin d'être ce genre de personnes, ce genre d'hommes. Cela peut paraître faux, mais je suis humain, j'ai un coeur et tout ce qui touche les personnes que j'aime me touchent moi aussi. J'espère qu'elle ne vit rien de grave, que cela soit de l'ordre de la maladie par exemple, puisque j'y suis passé il y a peu de temps, un peu plus de six mois pour être exact, lorsque j'ai dû enterrer mon père décédé à cause d'un cancer foudroyant. Toutefois, quoi qu'il arrive, quoi qu'il se passe je serais présent pour elle, pour le restant de notre nouvelle famille, parce que je pense que c'est ce que ma mère aurait fait, aurait voulu. J'aime penser que je lui ressemble dans le fond, que j'ai au moins quelque chose d'elle ...
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MessageSujet: Re: ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie.   ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie. Icon_minitimeLun 27 Nov - 8:20


✩ Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie.
J'étais vraiment heureuse de voir mon neveux , ma soeur me manquait vraiment beaucoup et encore plus depuis que je savais que j'étais de nouveau enceinte. J'aurais aimé l'avoir plus longtemps dans ma vie , mais la vie en avait décidé autrement. Je regarde mon neveux avec le sourire et je lui dit directement après qu'il m'est demander : « Rien de grave ? »  , comme je ne voulais pas l’inquiété je fini donc par rapidement lui dire. « Ne t'inquiète pas mon chou , ce n'est pas une mauvaise nouvelle , mais bien une bonne nouvelle. »   Dis-je avec le sourire a mon neveux. J'aimais beaucoup l'avoir près de moi. J'apprenait a le connaitre peut a peut et cela me faisait retrouver ma soeur.

Il avait certaines manies qu'elle avait elle même. Cela me faisait sourire a chaque fois. J'aurais aimé le connaitre plus jeune , mais mon beau-frère en avait voulut autrement. Mais j'aurais du m'imposé , maintenant que je connais une partie de son histoire. Je n'aurais jamais dut le laissé vivre avec cette homme surtout que j'avais promis a ma soeur que si lui arrivait quelque chose de m'occuper de son fils. Je me sentait coupable maintenant de l'avoir laissé tomber comme cela. Mais je ne pouvais pas revenir dans le passé. Je souris a mon neveux et l'invita a entré dans la maison.

Je me rendit jusque dans le salon avec lui . Justement ce que je voulais lui donner était sur la table basse du salon. J'espère qu'il allait dire oui. Je m'installa dans le canapé avec lui. Lorsqu'il me dit :  « Maddie, je sais qu'on se connaît depuis peu de temps, que je ne connais pas encore très bien le restant de ta famille, enfin de notre famille, mais saches que je suis présent. Pour tout. Je peux t'aider. »  Je fini donc par lui dire : « Alors je te rassure encore ce n'est rien de grave , alors voila pourquoi je voulais t'appeler pour te demander de passé.»  

Je fini donc par dire alors a mon neveux en prenant le petit cadeau qui trônait sur la table basse , il y avait a l'intérieur une petite paire de chaussette de bébé avec un petit message écrit sur une petite carte qui disait « Bonjour parrain j'espère que tu te souviens de tes comptines pour bébé , car j'aimerais bien que mon parrain me les chante , si bien sur tu veux bien être mon parrain ? » S'il retournait la petite carte il y avait de l'autre côté une photo de l'échographie que j'avais passé il y a quelques jours , mon nom était écrit sur l'échographie comme nom de la patiente donc il comprendra vite que je suis enceinte. J'avais hâte de voir sa réaction. J'avais aussi hâte de savoir s'il acceptait de devenir le parrain de ce futur bout de chou.

Dans le fond de la petite boite sous les chaussette je lui avait glissé la seule photo que j'avais de lui et de ma soeur. Elle ne l'avait pas eux dans les bras bien longtemps. Mais je me rappelerai chaque jours de l'expression de joie sur son visage. Cela me faisait sourire a chaque fois. Je fini donc par lui dire en rompant le silence qui c'était installé «Regarde dans le fond de la boite il y a quelque chose d'autre.» Dis-je avec le sourire. J'avais hâte de savoir sa réponse. Cela me stressait un peu quand même de savoir si cela allait être un oui ou un non.  
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MessageSujet: Re: ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie.   ✩. Tu me redonnes le sourire depuis que j'aie fait ta connaissance ma chère tata Maddie. Icon_minitime

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